De bons souvenirs de Spa et de Monza pour Ericsson

Après la fermeture estivale habituelle de son usine, l’écurie Sauber abordera la deuxième moitié de la saison avec des nouveautés aérodynamiques longuement retardées par manque de budget. Au menu pour se remettre d’attaque : Spa-Francorchamps ce week-end et Monza la semaine suivante.

« Je n’ai pas de trop mauvais souvenirs des Grands Prix de Belgique et d’Italie de l’an dernier, déclare Marcus Ericsson. J’avais pu terminer les deux courses dans les points, en 10e puis 9e position. Je me souviens aussi que nous avions un rythme correct, et j’espère que nous pourrons de nouveau décrocher des résultats similaires cette année. »

« Comparé à d’autres circuits, le tracé de Spa est assez long avec quelques passages intéressants, comme Eau Rouge, Blanchimont ou Pouhon. La puissance moteur est un facteur déterminant, tout comme à Monza. Sur ce circuit, le plus rapide du calendrier, il faut trouver un compromis au niveau des appuis aérodynamiques pour aller vite en ligne droite et avoir une voiture stable et rapide dans les virages et chicanes. De plus, l’ambiance est toujours excellente car les Italiens sont vraiment passionnés de course automobile. »

Felipe Nasr se montre quant à lui ravi de retrouver la Belgique.

« Spa marque le début de la deuxième moitié de saison, et c’est mon circuit favori. Le tracé est unique, avec beaucoup de virages rapides. Il est fluide, ça monte puis ça descend. D’un point de vue technique, il faut peu d’appuis et une bonne motricité pour y être compétitif. »

« À Monza, il faut là encore trouver le bon équilibre pour être rapide dans les lignes droites et ne pas perdre trop de temps dans les virages. Le circuit est lui aussi fluide, et mon virage préféré est la Parabolique. C’est de plus une piste qui a beaucoup d’histoire et que je connais bien puisque j’y ai couru dans d’autres catégories. Ça me rappelle quand j’avais déménagé en Italie en 2009, et j’habitais à l’époque très près de Monza. »