La F1 doit penser à la suite de la crise et à réduire ses dépenses
C’est l’avis de Berger et Marquardt
Gerhard Berger juge que la Formule 1 doit s’adapter à la crise et en plus de gérer l’urgence économique devant laquelle se trouve le sport automobile, elle doit prévoir la sortie de crise, lorsque la vie reprendra ses droits.
"Nous devons réussir à joindre les deux bouts pour être préparés à ce qui se passera après le coronavirus" a déclaré l’Autrichien, aujourd’hui directeur du DTM, à Auto Bild. "C’est mon avis personnel, mais je ne pense pas que l’on verra de courses avant août ou septembre. Pas même en Formule 1."
Un avis que partage Jens Marquardt, directeur de BMW Motorsport, qui voit une reprise différente : "A mes yeux, cette période où des sommes incroyables d’argent sont dépensées en sport automobile sont terminées."
"Mais le sport auto est important. La Formule E est un exemple. Pour nous, c’est de l’innovation et de la technologie. Quand j’entends qu’une équipe de F1 a 2000 employés pour deux voitures, même si la valeur revient, il est difficile de justifier des coûts astronomiques avec une bonne conscience."
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